| ||||||||||||||||
     |
Le coaching:
|
Où trouver de l'aide ?
. |
         |
Chaque expatriation est unique et c’est réellement important d’insister sur cette réalité.
    • La distance interculturelle qui existe entre le pays d’origine et le pays d’accueil. C’est à dire les différences entre le point de départ et le point d’arrivée.
Quels sont les interêts d’un coaching dans ce cas-là:
. |
Les principaux statuts d’expatrié(e) pour partir vivre à l’étranger: Partie 1: étudier à l’étranger.
Il est important dans ce cas d’intégrer que le futur expatrié devra faire preuve d’adaptabilité, de flexibilité et de persévérance . Les cours étant donnés dans la langue du pays d’accueil , l’étudiant devra fournir plus d’efforts que s’il était resté étudier dans son propre pays et donc si l’obtention d’un diplôme au bout du parcours est un enjeu , bien en tenir compte avant de prendre la décision de s’expatrier .
Ce type de programme peut aller de quelques semaines à une année académique entière( voire un cursus entier) , touchant un apprentissage linguistique mais aussi d’autres domaines .
Le fait d’acquérir des connaissances mais par un autre canal ( autre langue ou méthode d’enseignement différente ) peut aussi s’avérer un choix interessant.
Avoir une idée précise sur le coût de ce genre d’expérience ( les cours mais aussi les frais d’installation ; le logement; la nourriture; les loisirs sur place …..) peut être déterminant .
Envisager un petit boulot sur place pour diminuer l’impact de ces frais est une solution interessante .
Il existe un vaste choix de certifications et formations diplômantes accessibles en Europe mais aussi dans le monde qui par la suite , pourront se révéler un atout non négligeable à l’heure de postuler ou de se démarquer de la concurrence .
En ce qui concerne les stages à l’étranger, ils peuvent se combiner ou pas à un cursus à l’étranger . Il peut être spontané mais le programme initial doit le permettre et ensuite, il s’agira de chercher et trouver ce qui correspond le mieux en terme de conditions et de destination notamment .
A noter qu’un stage à l’internationale peut déboucher sur un premier contrat d’embauche et une porte d’entrée très interessante dans la vie active .
Quels sont les intérêts d’un coaching dans ce cas-là ?
. |          |
       |
Les principales causes qui mettent fin à une expatriation
O
n pense souvent ( à juste titre) qu’une expatriation est un grand évènement de vie qui implique des efforts voire des sacrifices et une adaptation continue .
Ce à quoi l’on pense moins, c’est le cas d’un retour au pays et ici, peut-être plus encore, le « futur ex expatrié »
devra passer par un processus de ré-adaptation , souvent plus complexe qu’il n’y paraît .
Les raisons qui peuvent pousser les expatriés à rentrer au pays sont souvent multiples et complexes.
. |
Apprendre la langue du pays : indispensable ?
Quand on envisage de s’expatrier, est-ce vraiment nécessaire de connaître la langue du pays ?
Premièrement , tout dépend du statut de l’expatrié(e): un travailleur aura des exigences de communication / adaptation / intégration inhérentes
à son travail supérieures à un retraité par exemple . Et donc , ici , c’est davantage l’état d’esprit de l’expatrié(e) qui sera déterminant.
Souhaite t-il vraiment s’immerger dans la culture de son pays d’accueil , dont la langue est l’une des branches les plus importantes ? Ou a
t-il des exigences de communication / partage très basiques et le réseau qu’il possède ( famille , amis) lui est suffisant ?
Ensuite, connaitre déjà en partie la langue ou commencer à l’apprendre AVANT l’expatriation peut participer à faire de cette opportunité de vie
une expérience encore plus unique et vécue plus intensément .
Quelque soit le pays d’accueil, voir un expatrié faire des efforts linguistiques sera toujours bien vu voire valorisé. Et le cas contraire, le
plus souvent critiqué .
Maitriser l’anglais, considéré comme la langue universelle, pourrait suffire dans certains pays, y compris non anglophones, mais à nouveau la
question de : « à quel niveau est ce que je veux m’impliquer dans ce projet « a tout son sens . Et de là, le lien direct avec un concept déjà
abordé précédemment d’une expatriation désirée OU au contraire imposée .
De plus , ne pas connaître la langue du pays impliquera de manière certaine une impression de toujours rester en surface et la construction d’un
réseau social identique au niveau linguistique .
A l’heure où une expatriation est avant tout une immersion culturelle - souvent de moyenne ou longue durée, se passer de ce tremplin linguistique
privera l’expatrié(e) sans doute de beaucoup d’opportunités , généralement recherchées dans le projet même de l’expatriation . D’où l’interêt ici
de se questionner par rapport à ses attentes et les objectifs poursuivis.
Le fait de parler la langue du pays d’accueil favorise directement l’intégration sociale que ce soit dans la construction d’un nouveau réseau ou
dans les diverses démarches administratives, qui peuvent être compliquées dans certains pays .
Connaitre la langue présente l’avantage - et non des moindres, de maintenir son autonomie d’action , y compris à l’étranger et « ouvre les portes
» ... tout simplement .
Concernant les personnes qui désirent s’expatrier dans un autre pays francophone, il y aura néanmoins des spécificités linguistiques locales
( expressions / vocabulaire spécifique / accent ....).
En conclusion , même si l’apprentissage de la langue du pays d’accueil , à n’importe quel moment du processus et quelque soit le niveau atteint,
représente des avantages indéniables , ce sera au futur expatrié d’interroger ses motivations et de prendre la décision .
. |          |
La vocation du coaching est d’améliorer sa connaissance de Soi via un questionnement individuel sur les thèmes principaux qui sont l’estime de Soi
; l’assertivité; les valeurs; les besoins; les croyances limitantes ( et les blocages qu’elles induisent); être conscient de l’ensemble de ses capacités/
compétences /ressources et apprendre à les utiliser ….. Les principaux axes de travail sont: la gestion des émotions
( leur reconnaissance et leur acceptation ); le lâcher prise et la gestion du stress
( notamment en se dégageant du mental et en se concentrant davantage sur son corps); gagner en confiance en Soi;développer une pensée plus
positive mais juste: de Soi, des Autres et des évènements ( par l’acquisition de nouvelles perspectives); apprendre à se valoriser et à prendre soin
de Soi ( intégrer le concept de gratitude); développer des stratégies d’adaptation efficaces en vue de prises de décision en accord avec ce que l’on
est; définir des objectifs de vie clairs et réalisables et se donner les moyens de passer à l’action; ……
En se connaissant de manière plus approfondie, on se rapproche inéluctablement du bonheur puisque ce que nous faisons est directement lié à qui
nous sommes et non pas aux injonctions provenant de notre éducation, famille, société.
Ce gain en liberté en tant qu’individu rendra notre vie et nos rapports aux autres - et à nous même - plus authentiques.
Devant chaque situation, chaque problématique, on a toujours le choix entre 2 voies: soit on s’adapte ( et c’est un choix), soit on construit de
nouvelles pistes pour vivre mieux. Il n’y a jamais de mauvais choix en soi, il faut juste qu’il nous corresponde.
Cette démarche d’accompagnement se fait grâce aux compétences d’un professionnel en développement personnel.